"A la croisée des chemins, et quelle que soit sa direction, il y a toujours une croix pour guider le pèlerin, lui rappeler qu'il est sous la protection de la divine providence et qu'il n'a qu'à suivre son étoile qui le mènera sans encombre jusqu'au bout de son chemin.
Le cheminement du pèlerin doit l'amener à retrouver son unité intérieure en redécouvrant et en valorisant ses cinq sens.
Le pentagone 5 est encore, pour les pythagoriciens, le nombre vital, le nombre du cœur (exprimé par le substantif grec : cardiasis formé sur le mot cardia = cœur.)
En effet, le pèlerin ne peut être qu'un homme de cœur qui axe sa vie et son action de tous les jours sur la générosité et l'abandon progressif de son moi pour se consacrer aux autres avec lesquels il désire partager l'amour et la fraternité."